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Location et solidarité peuvent cohabiter

lundi 22 septembre 2014, par thomas

Le Monde Argent I Jérôme Porier I 22/09/14

Pour les propriétaires à la ­fibre sociale, qui hésitent à louer leur bien car ils redoutent les impayés ou les ­dégradations, plusieurs ­solutions existent. La première consiste à s’adresser à une association qui va sous-louer le bien à un ménage en difficulté. Deux formules sont possibles : le bail glissant et la sous-location. Avantage de la première pour le ­locataire, l’occupant du logement peut rester dans les lieux à la fin du bail (si sa situation financière le permet), alors qu’un ménage en sous-location devra trouver un autre abri. « Les ménages bénéficient d’un accompagnement individualisé, par exemple pour gérer leur budget ou entretenir le logement », précise Sylvie Eschalier, responsable de la mobilisation de logements dans le parc privé chez Habitat et humanisme.

SELON LES RÉGIONS

Le propriétaire ne prend pas de risques car l’association assume les impayés et garantit la restitution du bien en bon état. En signant une convention avec l’Agence nationale de l’habitat (ANAH) qui l’engage à maintenir le loyer à un niveau plafonné pendant six ou neuf ans, le propriétaire peut obtenir un abattement de 30 % à 60 % sur l’imposition des loyers. Ces plafonds varient en fonction des régions.

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