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Faut-il acheter un bien un vendredi 13 ?

vendredi 13 juin 2014, par thomas

Le Figaro I Charlotte Peyronnet I 13/06/2014

Entre chance et malchance, les avis divergent. La superstition gagne les Français. Et, notamment quand il s’agit d’immobilier.

Le Vendredi 13 fait toujours autant d’effet. Au nombre de deux l’année dernière, il n’y en a qu’un seul cette année. La population se partage entre paraskevidékatriaphobe ou paraskevidékatriaphile, à savoir fan ou phobique de cette date particulière. Une chose est sûre, cette date ne laisse personne indifférent, à en croire les chiffres de la Française des Jeux qui enregistre deux fois plus de joueurs les semaines avec des vendredi 13 soit huit millions au lieu de quatre ordinairement. Mais tout le monde ne profite pas de ce boom des ventes, en tout cas, ce n’est pas le cas de l’immobilier. A l’occasion du seul vendredi 13 de l’année, la société A vendre A Louer a réalisé un sondage en partenariat avec OpinionWay sur la superstition dans l’immobilier. Et dans ce secteur, les chiffres grimpent. Alors que 23% des Français se déclarent superstitieux de manière générale, quand il s’agit d’immobilier, les résultats sont bien plus élevés : 48% des femmes et 35% des hommes se disent superstitieux.

Le numéro 13 effraie

Tolérants pour effectuer des recherches immobilières un vendredi 13, 15% des Français ne veulent cependant pas signer un acte de vente ce jour-là. Et pour la moitié des personnes qui considèrent que ce jour porte malheur (7% des interrogés), il n’est pas envisageable de pendre sa crémaillère un vendredi 13. La phobie du numéro 13 se décline aussi sous d’autres formes. 17% des sondés se disent gênés quand il s’agit du numéro d’appartement et 8% refusent catégoriquement d’habiter au 13ème étage d’un immeuble. Ces chiffres montrent toutefois, heureusement pour l’immobilier, que 80% des sondés n’ont pas d’a priori négatif sur le numéro 13 dans le choix de leur logement. A contrario, un Français sur cinq est prêt à choisir un logement plutôt qu’un autre parce qu’il porte son numéro fétiche.

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