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Le déficit foncier à nouveau utilisé

vendredi 29 novembre 2013, par thomas

L’AGEFI Actifs I Anne-Laure Declaye I 29/11/2013

- Fortes de leur succès, Avenir Finance IM et Urban Premium ont décidé de renouveler leur initiative - Deux autres sociétés de gestion de SCPI investissent le créneau au moment où le Duflot peine à trouver sa place

En 2011, à quelques mois d’écart, Avenir Finance et Urban Premium lançaient chacune une SCPI reposant sur le même principe : acquérir des biens anciens à rénover pour permettre aux associés, grâce aux charges produites par les travaux engagés, de déduire de leurs revenus fonciers la quote-part des dépenses d’entretien, de réparation ou d’amélioration et/ou, en cas de déficit foncier, d’imputer celui-ci sur le revenu global dans la limite de 10.700 euros (1) (L’Agefi Actifs n°505, p. 13 et n°507, p. 14). Puis plus rien, jusqu’à ce que voient le jour, en 2013, quatre nouvelles SCPI usant de la même technique.

Quatre SCPI au choix.
Une chance que le dispositif Duflot ne connaisse pas le destin de son prédécesseur, l’intérêt des investisseurs désireux de diminuer leur impôt pour ce type de produit, qui ne représentait que 1,20 % de la collecte nette des SCPI fin 2012, n’en sera que plus grand. Ce, d’autant que le mécanisme d’imputation des charges sur les revenus fonciers et/ou sur le revenu global n’entre pas dans le champ du plafonnement des niches fiscales.

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