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Jusqu’où les prix vont-ils baisser ?

mardi 27 août 2013, par thomas

27/08/2013 I Capital

Le repli de la cote est manifeste depuis un an. Mais il devrait marquer le pas dans bon nombre de grandes villes, comme le montre l’enquête réalisée par les journalistes de Capital, à l’occasion du numéro Spécial Immobilier, actuellement en kiosque. Voici les grandes tendances du marché.

Un terrible bras de fer. Voilà la scène qui, depuis huit mois, se joue derrière les ­vitrines des agences immobilières ou dans les études de notaires de l’Hexagone. D’un côté de la table, les vendeurs, qui défendent bec et ongles leurs prix, quitte à retarder la transaction ou à la faire capoter. De l’autre, les candidats à l’achat, qui jouent la montre. Rien de plus normal : ils peuvent compter sur un large choix de logements et sur des conditions de financement ultrafavorables. A ce petit jeu, ce sont d’ailleurs eux qui l’emportent. Car cette fois, il n’y a plus de doute : la cote a amorcé son recul, quel que soit le type de bien (–1,1% sur un an pour les appartements et –1,6% pour les maisons, selon les chiffres des notaires).

Ce reflux, nous l’avons constaté au cours de notre enquête, est à l’œuvre dans les villes de taille moyenne comme dans les grandes métropoles régionales, à l’exception notable de Lyon. Mais aussi, fait nouveau, dans les stations balnéaires huppées et la totalité des arrondissements parisiens (– 4% en moyenne dans la capitale). Si, dans le même temps, l’activité a nettement fléchi (–.1% sur un an, avec 635 000 ventes attendues pour 2013 dans l’ancien), on est cependant loin de l’effondrement généralisé des prix pronostiqué par certains experts. « Les acheteurs qui franchissent le pas visent les logements de bonne facture, dont les tarifs sont plus difficiles à faire baisser », observe Fabrice Abraham, directeur général du réseau Guy Hoquet.

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