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Des pistes pour relancer l’immobilier ancien
mercredi 17 octobre 2012, par
Gilles Lockhart I le 17/10/2012 I Lexpansion.fr
Alors que la construction est en panne, la fédération nationale des agents immmobiliers avance une proposition pour débloquer le marché de l’ancien : créer un statut fiscal pour le bailleur. Mais il existe d’autres pistes pour inciter à l’investissement locatif. Revue de détail...
Quoi de neuf pour relancer l’immobilier ? " L’ancien ! ", répond Jean-François Buet, le président élu de la Fnaim. A l’heure où promoteurs et investisseurs font grise mine à cause de la suppression du dispositif Scellier et du flou qui entoure son successeur, le "Duflot", à l’heure où les normes environnementales et les matières premières entraînent des hausses constantes des coûts de construction, "sortant" les petits budgets de l’accession neuve, l’immobilier ancien se retrouve paré de toutes les vertus.
"L’ancien est par définition synonyme de diversité sociale puisque tous les types de logements préexistent dans les quartiers : pas la peine de fixer des quotas de construction comme dans le neuf, argumente Jean-François Buet. Et il constitue un réservoir presque infini de biens à rénover. Il suffirait de quelques mesures simples pour alimenter le marché locatif et l’accession dans l’ancien."
Création d’un statut fiscal pour le bailleur
Exemple de mesure envisagée par la Fnaim pour doper l’investissement locatif dans l’ancien : la création d’un véritable statut social pour le bailleur privé. " Il faudrait que celui-ci soit reconnu comme un vrai acteur économique qui a épargné et qui met à disposition un logement, argumente Jean-François Buet. Il a des obligations réglementaires, de surface, de durée du bail, etc. Le locataire, lui, a pour seule obligation de payer son loyer et d’entretenir le bien. Nous souhaitons un équilibre. "
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